courage jiffy surtout surtout ne lui fait pas sentir ton angoisse bluffe pas évident mais important
continues bien à lui donner à boire surtout
essaye de le prendre contre toi de le rassurer surtout
et si tu peux voir un autre véto ce vendredi n'hésite pas surtout

courage on pense bien à toi donnes nous des nouvelles surtout !!
essaye qu'il se repose comme dans tes bras qui le rassurent il a 15 ans sont coeur aussi !!

courage on est là

bizzzzzzzzzzzzz tu sais me joindre

jiffy, je dois partir mais je tenais à te dire que je penserai bien à toi et à jumpy et j'espère avoir de bonnes nouvelles à mon retour, c'est-à-dire vers le 20 mai. Je t'embrasse. Caresses à jumpy. Courage

Une grosse grosse grosse pensee pour vous deux. Je t'envoie tout mon courage, si ca peut t'aider meme un "chouya" de savoir que des inconnus pensent tres fort a toi et a Jumpy dans ce dur moment.

Tu l'as accompagne dignement et ne l'as pas laisse souffrir.

Je t'envoie toutes mes pensees.

toutes mes pensees vous accompagnes, Jumpy est parti entoure de tout ton amour pour lui.

flute, je viens de voir le dernier message. Je suis désolée pour ton petit bout à quatre pattes. Bon courage à toi

Merci pour vos petits mots.

Je viens de rentrer chez moi et là... Je me demande comment je vais pouvoir supporter seule ce grand appartement vide...si loin de tout, si loin des miens.
Jumpy est partout comme il a toujours été dans ma vie ; dans chaque instant de peine, de joie, de découverte, d'enthousiasme. Il a tout partagé depuis 15 ans. Je lui racontais tout : tous mes petits tracas, mes peines, mes joies. Il était tellement lié à moi que dès que je n'étais pas bien, lui non plus. Il était le miroir de mes états d'âme, mes instants de folie. Tout le monde l'aimait car il avait ce don de se faire aimer.
Il m'a offert un bout de vie magnifique, un motif de rentrer le soir.
Il a été un chien extraordinaire, sans problèmes, sans bêtises.
Combien de fois, il m'a fait rire avec ses pitreries.
Il était ma raison de vivre, mon seul compagnon... Je me sens vide, sans énergie, sans envie.

Je voulais le ramener en France (je rentre dans 3 mois) ; je l'imaginais déjà dans son petit jardin, celui qu'il avait connu avant de partir au Maroc ; celui où il courait derrière les mouches, les abeilles, les oiseaux et les écureuils.
Je voulais aussi le ramener pour le faire incinérer le jour fatidique. Ici, ça n'existe pas. Heureusement, mon amie qui l'a gardé tant de fois va l'enterrer dans son jardin, un autre jardin où il a été heureux.

C'est trop trop dur là