Bonjour,
Je lance une nouvelle discussion...
Souvent, sur ce forum, nous déplorons la perte ou la maladie de nos compagnons animaux...Aussi, on pourrait dire, dans cette discussion, tout ce qu'on a remarqué chez eux et qui nous montre combien ils sont sensibles et intelligents : nous rappeler ainsi les bons moments et les partager, cela fait du bien...et c'est un hommage à nos compagnons.
Alors, je commence...J'ai habité un moment à la campagne et le chien du voisin nous accompagnait dans nos promenades...Comme j'ai un dos qui est fragile, souvent j'étais à la traîne derrière ma fille et mon mari qui galopaient devant, grimpaient....Le chien revenait alors sur ses pas, m'observait, et attendait que je le rejoigne avant de repartir avec moi...Personne n'a jamais eu autant d'attention pour moi dans ces marches, autant d'inquiétude dans le regard et de patience...J'en ai toujours été très touchée....Et je regrette de ne m'être pas assez inquiétée de ce chien quand on a déménagé, lui qui s'était si inquiété pour moi....On est souvent ingrats, nous, les êtres humains !
Juliet

Géniale histoire ! J'adore l'expression "il me faisait une fête d'enfer" : c'est vrai, les animaux n'oublient pas ! En sortant de mon boulot, je vais souvent boire un coup dans un café où il y a un chien Berger à qui je donne en douce des caresses car on n'a pas trop le droit, son maître voulant en faire un chien de garde pour le café. Du coup, dès que je suis en train d'acheter un truc au copmtoir, sans même m'asseoir, le chien vient en douce et pose son museau contre ma jambe en poussant un peu : j'adore : ça veut dire "Bonjour, je t'ai reconnue, en douce, moi aussi..."
Juliet

C'est vrai, avec les animaux, on est rarement tout seuls...Petite, ma chatoune, dormait du sommeil du juste : je suis rentrée, ceratainement contrariée par quelque chose dont je ne me souviens plus et j'ai pleuré : aussitôt, elle s'est réveillée, folle, inquiète, courant autour de moi et son ballet m'a consolée...
Juliet

Moi aussi j'ai une jolie histoire

Depuis maintenant presque 14 ans mon papa avait un ami qui habitait le meme immeuble.
cet ami avit environ la soixantaine et a rencontré vers 1996 une dame qui avait à l'époque un tu chat du nom de lyla ( qui a l'époque avait 2 ans ).
au il du temps ces 2 personnes se sont mis ensemble et ont vécu en dessus de chez moi, dc j ai fis la connaissance de lyla et ils ont acheté un berger des pyrennees en 1996 Morgane .
Morgane nous a tjrs fait la fête, venait à la maison... seul probleme c'était avec Lyla car il grognait , il feulait ( bref un vieu garcon à sa maman ) et moi je lui disais " Lyla , moi je t'aime, je te laisserais jamais quoiqu il arrive "

et le pire est arrivé les 2 amis de mon papa st décédés en 2003 et 2006.

Dc le 5 mars, qd mon papa a découvert le corps de la dame, il m a appele à mon boulot, je l ai rejoint et la 1ere chose qu on s'est dit c'est " on prends Morgane et Lyla ", et la....lyla s'est laissé prendre ss probleme ds son ti sac etje l'ai ramené et depus c'est un garnd amour encore plus grand que celui que je lui portait.

Je eur aait promis de JAMAIS les laisser et maintenant il font ma joie.

Lyla a aujourd hui 13 ans et c'est un vrai pacha, il a pris le meilleur fauteuil, il fait "ouin" qd on lui donne ses repas, il dors avec moi.

Voilà, j'ai un peu devier mais à mon coeur c'est une belle histoire.

Une petite histoire même si je vais pleurer en l'écrivant:
Quand j'avais 10ans, mon père a emmenagé dans une petite maison dans un bois juste à côté d'un petit chateau. Les gens qui habitaient le chateau me laissaient jouer avec leur chienne, un boxer, Baya.

Quand j'étais chez mon père, tous les jours j'allais jouer avec Baya. On avait un jeu un peu drôle, je courais en faisant le tour du chateau et elle me courait après. Quand elle me rattrapais, elle ralentissais pour faire comme si elle essayais de m'attraper sans y arriver... On faisait une dizaine de tours comme ça...
Quand j'ai eu mon vélo, je suis devenue un peu plus feignante alors je faisais les tours a vélo et elle me poursuivait comme avant...

Un week-end où je suis revenue chez mon père, j'ai cherché Baya partout et je n'ai trouvé qu'un gros chien noir et blanc (je me souviens plus du nom, ça ressemble au terre neuve). Baya avait été piquée car une tumeur inopérable était apparue.

Donc j'ai commencé une nouvelle amitié avec Nalie, la nouvelle chienne mais j'ai du trouver d'autres jeux, elle n'a jamais compris mon jeu avec Baya, elle me suivait un tour et puis s'arretait...

Un jour, le proprio du chateau m'a emmené dans son atelier (il est peintre) parcequ'il voulait me faire voir une toile.Je me suis mise à pleurer quand je l'ai vue, c'était Baya, la toile était si parfaite qu'on aurait cru que la chienne était là...

Depuis, mon père a déménagé, je ne vois plus Nalie Il y a 3ans, le chateau a brulé, Nalie a été sauvée de justesse par les pompiers et l'atelier a été la seule pièce épargnée par les flammes...

vraiment superbes coolen et ophelye

l'amour des animaux pour nous est sans réserves

Encore une...J'ai passé des vacances de Pâques à Belle-Ile, en Bretagne, dans une maison prêtée par des copains habitant aussi Belle-Ile. On se voyait pour déjeuner et j'ai vite copiné avec leur chienne, un épagneul breton, appelée Gourzen. Gourzen est un mot breton, intraduisible en français et qui veut dire "l'écume blanche très légère, mousseuse, que fait la mer quand elle se répand sur le rivage". C'est hyper poétique. Plusieurs fois, j'ai promené follement Gourzen sur le port où on courait. Un matin, j'arrive chez les amis, je frappe : pas de réponse ; j'ouvre la porte, j'entre, je crie "Ya personne ?" : pas de réponse. Gourzen, allongée au soleil vient me renifler et s'installe avec moi sur le canapé où on s'est endormies, Gourzen à moitié répandue sur moi. Une bonne heure après, arrive la maîtresse de maison, interloquée : "Comment ! Tu as pu entrer ! Et Gourzen, alors, à quoi elle sert ! Elle défend même pas la maison !" Eh oui, Gourzen, prise en flagrant délit de copinage avec d'éventuels brigands. Aujourd'hui, Gourzen n'est plus, elle a vécu son temps de vie de chien mais à chaque fois que je vais à la mer et que mes pieds nus sont recouverts d'une écume mousseuse, je pense à Gourzen et à notre amitié sans nuages et nos courses folles sur le ports de Belle-Ile ...
Juliet