le male:
la femelle: (chanel)
mon chiot a une malformation
Modérateur : NicolasL
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- Localisation : dans le 62 [phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/vendor/twig/twig/lib/Twig/Extension/Core.php on line 1107: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable
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- Inscription : Jeu Jan 25, 2007 10:19 pm [phpBB Debug] PHP Warning: in file [ROOT]/vendor/twig/twig/lib/Twig/Extension/Core.php on line 1107: count(): Parameter must be an array or an object that implements Countable
Voici un doc très intéréssant (et ci-dessous un extrait concernant la luxation de la rotule) :
LUXATION DE LA ROTULE
Définition : La luxation de la rotule, ou patella, est une affection orthopédique fréquente du
grasset, dont l’origine est le plus souvent congénitale. Elle est caractérisée par une position
anormale de la rotule hors de la trochlée. Latérale ou le plus souvent médiale, elle est associée
à un ensemble d’anomalies squelettiques fémorale et tibiale qui apparaissent précocement et
s’aggravent au cours de la croissance. La luxation médiale ferait partie des cinq affections
héréditaires les plus importantes. Il s’agit d’un vice caché grave pouvant donner droit à une
action en rédhibition. La luxation médiale est associée à des ruptures du ligament croisé
crânial dans 15 à 20% des cas et elle est bilatérale dans 20 à 50% des cas.
Races concernées : - Luxation médiale : elle touche principalement les races de petite taille
(Yorkshire, Caniche, Chihuahua, Pinscher, Pékinois, Papillon, Cavalier King Charles, Lhassa
Apso, Boston Terrier, Teckel, Cairn Terrier, Carlin, Griffon Bruxellois, Bichons, Loulou de
Poméranie) et plus rarement les chiens de taille moyenne (Epagneul Breton).
- Luxation latérale : elle atteint le plus souvent des chiens de race de taille
moyenne à grande comme les Retrievers, le Dogue allemand, le Saint-Bernard, l’Irish
Wolfhound.
Déterminisme génétique : - Luxation médiale : elle est congénitale et touche plus
fréquemment les femelles (rapport femelles/mâles de 1.5). L’origine n’est pas connue. Elle
serait polygénique, les polygènes contrôlant la profondeur de la trochlée, le développement
des crêtes osseuses et l’attachement des ligaments gouvernant les mouvements de la rotule.
- Luxation latérale : il y a une prédisposition raciale. L’étiologie
est inconnue mais une composante héréditaire est probable. Elle n’est pas congénitale. La
luxation latérale de la rotule pourrait être associée à la dysplasie de la hanche dont l’origine
héréditaire est prouvée.
Etude clinique :
- Expression clinique : - Luxation médiale de la rotule : les troubles de la démarche
apparaissent de façon précoce chez les chiots de 2 à 4 mois. L’intensité de ces troubles varie
selon les individus : certains refusent de marcher ou se déplacent accroupis avec les grassets
fléchis, d’autres se déplacent normalement.
La luxation est classée en 4 stades selon des critères cliniques et physiques [Tableau
45]. Lors de luxation de stade I ou II, des boiteries intermittentes sont souvent décrites par le
propriétaire.
Des anomalies de conformation associées sont souvent visibles immédiatement, comme le
genu valgum caractérisé par des grassets orientés vers l’extérieure et des pieds vers
l’intérieure. La position fléchie permanente du grasset entraîne une rétraction du muscle
quadriceps qui limite la capacité d’extension. La douleur est souvent faible à absente sauf en
cas de chondromalacie rotulienne ou condylienne.
- Luxation latérale de la rotule : souvent, au début de
l’évolution, l’animal présente une démarche « lourde » et l’individu est panard. Ces signes
cliniques discrets peuvent s’accentuer notamment par une altération de la fonction
locomotrice entre 3 et 6 mois. Les jarrets sont en hyperextension, les grassets sont fléchis et
rentrés sous le corps, le dos est voussé et des douleurs sont présentes à la manipulation des
masses musculaires des membres postérieurs qui sont atrophiés.
- Diagnostic : Le diagnostic de certitude se fait par palpation des reliefs anatomiques
sur un animal éveillé et debout. La radiographie permet également de visualiser la luxation,
ainsi que les signes d’arthrose secondaire et les déformations osseuses éventuelles.
- Pronostic : Il dépend de la sévérité des lésions anatomiques et du potentiel de
croissance du chien au moment du diagnostic : il est excellent à mauvais. Lors de chirurgie
précoce, le pronostic est souvent favorable.
Diagnostic différentiel : Maladie de Legg-Perthes-Calvé, dysplasie coxo-fémorale,
traumatisme.
Prophylaxie : Bien qu’imparfaitement démontré, le caractère héréditaire de la luxation
rotulienne semble évident. Il implique donc l’instauration d’un plan de sélection, nécessitant
la mise en place d’une méthode diagnostique précoce, afin de retirer de la reproduction les
animaux atteints, leurs parents et ceux guéris chirurgicalement.
LUXATION DE LA ROTULE
Définition : La luxation de la rotule, ou patella, est une affection orthopédique fréquente du
grasset, dont l’origine est le plus souvent congénitale. Elle est caractérisée par une position
anormale de la rotule hors de la trochlée. Latérale ou le plus souvent médiale, elle est associée
à un ensemble d’anomalies squelettiques fémorale et tibiale qui apparaissent précocement et
s’aggravent au cours de la croissance. La luxation médiale ferait partie des cinq affections
héréditaires les plus importantes. Il s’agit d’un vice caché grave pouvant donner droit à une
action en rédhibition. La luxation médiale est associée à des ruptures du ligament croisé
crânial dans 15 à 20% des cas et elle est bilatérale dans 20 à 50% des cas.
Races concernées : - Luxation médiale : elle touche principalement les races de petite taille
(Yorkshire, Caniche, Chihuahua, Pinscher, Pékinois, Papillon, Cavalier King Charles, Lhassa
Apso, Boston Terrier, Teckel, Cairn Terrier, Carlin, Griffon Bruxellois, Bichons, Loulou de
Poméranie) et plus rarement les chiens de taille moyenne (Epagneul Breton).
- Luxation latérale : elle atteint le plus souvent des chiens de race de taille
moyenne à grande comme les Retrievers, le Dogue allemand, le Saint-Bernard, l’Irish
Wolfhound.
Déterminisme génétique : - Luxation médiale : elle est congénitale et touche plus
fréquemment les femelles (rapport femelles/mâles de 1.5). L’origine n’est pas connue. Elle
serait polygénique, les polygènes contrôlant la profondeur de la trochlée, le développement
des crêtes osseuses et l’attachement des ligaments gouvernant les mouvements de la rotule.
- Luxation latérale : il y a une prédisposition raciale. L’étiologie
est inconnue mais une composante héréditaire est probable. Elle n’est pas congénitale. La
luxation latérale de la rotule pourrait être associée à la dysplasie de la hanche dont l’origine
héréditaire est prouvée.
Etude clinique :
- Expression clinique : - Luxation médiale de la rotule : les troubles de la démarche
apparaissent de façon précoce chez les chiots de 2 à 4 mois. L’intensité de ces troubles varie
selon les individus : certains refusent de marcher ou se déplacent accroupis avec les grassets
fléchis, d’autres se déplacent normalement.
La luxation est classée en 4 stades selon des critères cliniques et physiques [Tableau
45]. Lors de luxation de stade I ou II, des boiteries intermittentes sont souvent décrites par le
propriétaire.
Des anomalies de conformation associées sont souvent visibles immédiatement, comme le
genu valgum caractérisé par des grassets orientés vers l’extérieure et des pieds vers
l’intérieure. La position fléchie permanente du grasset entraîne une rétraction du muscle
quadriceps qui limite la capacité d’extension. La douleur est souvent faible à absente sauf en
cas de chondromalacie rotulienne ou condylienne.
- Luxation latérale de la rotule : souvent, au début de
l’évolution, l’animal présente une démarche « lourde » et l’individu est panard. Ces signes
cliniques discrets peuvent s’accentuer notamment par une altération de la fonction
locomotrice entre 3 et 6 mois. Les jarrets sont en hyperextension, les grassets sont fléchis et
rentrés sous le corps, le dos est voussé et des douleurs sont présentes à la manipulation des
masses musculaires des membres postérieurs qui sont atrophiés.
- Diagnostic : Le diagnostic de certitude se fait par palpation des reliefs anatomiques
sur un animal éveillé et debout. La radiographie permet également de visualiser la luxation,
ainsi que les signes d’arthrose secondaire et les déformations osseuses éventuelles.
- Pronostic : Il dépend de la sévérité des lésions anatomiques et du potentiel de
croissance du chien au moment du diagnostic : il est excellent à mauvais. Lors de chirurgie
précoce, le pronostic est souvent favorable.
Diagnostic différentiel : Maladie de Legg-Perthes-Calvé, dysplasie coxo-fémorale,
traumatisme.
Prophylaxie : Bien qu’imparfaitement démontré, le caractère héréditaire de la luxation
rotulienne semble évident. Il implique donc l’instauration d’un plan de sélection, nécessitant
la mise en place d’une méthode diagnostique précoce, afin de retirer de la reproduction les
animaux atteints, leurs parents et ceux guéris chirurgicalement.
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